De nos jours, difficile de feuilleter un magazine féminin ou de regarder une série de spots publicitaires sans entendre parler de régimes. Devenu un véritable phénomène de mode, près de 44% des français en ont déjà fait un, dont 26% ont en fait déjà quatre. Mais à quel prix ?

Maux de ventre, troubles du transit (on entend par là, diarrhée et constipation), ballonnements, gaz, flatulences, ventre gonflé, fatigue, sensation de vertiges, douleurs, lourdeur dans l’estomac, difficultés de digestion, reflux acides, perte d’appétit …

Ces symptômes peuvent faire partie du syndrome de l’intestin irritable (SII).

On l’appelle aussi colopathie fonctionnelle ou côlon irritable.

 

Mais alors de quoi il s’agit ?

C’est une maladie fréquente qui touche environ 10 à 20 % de la population française. Elle est sans gravité, mais en raison de sa chronicité et des douleurs qui se répètent, elle altère la qualité de vie des personnes qui en souffrent. Ce syndrome peut se manifester chez toutes les populations mais les femmes sont deux fois plus touchées que les hommes (oui, c’est encore pour nous ;))

 

Comment le syndrome se développe-t-il ?

Les symptômes peuvent être déclenchés ou favorisés par une gastro-entérite, des traitements médicamenteux, une grave maladie, un accident, une chirurgie digestive, la fatigue, des situations de stress (changements dans le quotidien, voyages…), des facteurs psychologiques comme l’anxiété, l’angoisse, et le stress ou un traumatisme.

Des facteurs environnementaux (additifs, conservateurs, produits ultra-transformés) et/ou alimentaires comme des repas non équilibrés ou trop copieux peuvent amplifier les symptômes.

Quels sont les mécanismes associés ?

Ils sont encore mal connus et multiples, mais on peut observer diverses anomalies tels que :

  • Un trouble de la motricité de l’intestin
  • Une hypersensibilité intestinale 
  • Un microbiote intestinal perturbé ou une dysbiose

Comment obtenir un diagnostic ?

La première chose à faire est de consulter son médecin traitant afin de faire un bilan sanguin complet, notamment le dépistage de la maladie cœliaque (allergie au gluten). Puis faire des examens poussés tels que la fibroscopie (caméra dans l’estomac, et dans l’œsophage avec biopsie), et la coloscopie (caméra dans le côlon). A la suite de cela, il est possible de consulter un spécialiste des intestins : le gastro-entérologue pour faire un point avec lui y compris des tests respiratoires éventuellement pour déceler toutes intolérances éventuelles.

Il existe également une classification (ROME IV) pour poser le diagnostic en complément des examens médicaux.

Quel est le traitement ?

Je suis désolé de vous décevoir mais il n’en existe pas.

Cependant, une alimentation pauvre en FODMAPS permet de diminuer les symptômes.

De plus, nous ne le dirons jamais assez mais avoir une bonne hygiène de vie permet de diminuer les symptômes. C’est-à-dire avoir un bon sommeil réparateur, bien s’hydrater, pratiquer une activité physique régulière, cuisiner maison et limiter les produits ultra-transformés, les plus gras, les plus salés et les plus sucrés. Éviter le plus possible le tabac et l’alcool.

Mais qu’est-ce que les FODMAPs?

Les FODMAPs sont un groupe de petites molécules de sucre qui fermentent dans le côlon et que l’on retrouve dans les aliments de tous les jours.

Qu’est ce veut dire l’acronyme ?

C’est tout simplement le nom de ces différents groupes de sucres :

F pour fermentable

O pour oligosaccharides

D pour disaccharides

M pour monosaccharides

A pour and

P pour polyols

Alors, comment faire pour aller mieux ?

Une fois tout ce travail réalisé, et une fois le diagnostic posé, il est conseillé de se retourner vers un ou une diététicienne qui pourra vous aider à détecter quels sont les FODMAPs qui ne conviennent pas, en quelles quantités et par quelles fréquences. Le professionnel de santé vous accompagnera dans ce protocole très rigoureux mais qui en vaut la peine pour retrouver une sérénité intestinale !

Source : www.ameli.fr, https://www.monash.edu

 

 

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Avant de débattre sur l’utilité ou non d’un régime, revenons sur la définition même d’un régime alimentaire. Selon le Larousse : « Prescrire un régime consiste à établir une liste d’aliments interdits ou limités et d’aliments autorisés en quantités définies, assortie de conseils concernant la préparation, la cuisson, la répartition de ceux-ci, etc. Un régime ne peut être suivi, sur une longue période et avec succès, que s'il est parfaitement expliqué au patient, adapté à son mode de vie et à ses préférences alimentaires tout en respectant les indications médicales. Le diététicien joue ici un rôle essentiel. » On peut résumer cette définition comme l’ensemble de recommandations et de règles alimentaires selon une stratégie et un objectif précis. Mais il y a beaucoup de dérives. Cela se traduit très souvent par des suppressions d’aliments ou de familles d’aliments, de la réduction des quantités de certains groupes alimentaires tels que les glucides et/ou lipides. On peut lier à cela une pratique d’activité physique régulière et intensive permettant de brûler des calories. Parfois aussi des boissons magiques et des habitudes toutes les plus loufoques les unes que les autres : pas de féculents le soir, suppression des bananes … On peut se demander alors quels sont les effets d’un régime sur le comportement alimentaire et la santé ? Des restrictions qui ne datent pas d’hier Depuis la fin du 19ème siècle, nous pouvons constater l’expansion de nombreux régimes toujours plus à la mode et attrayants, surtout destinés à la gent féminine. En effet, celles-ci s’occupaient de la maison, de la préparation des repas et de l’éducation des enfants. De plus, les femmes doivent plaire à la gent masculine. Les temps ont bien changé, ou presque… La culture du régime et de la minceur a pris de plus en plus de place en stigmatisant le poids, la balance et la minceur. Ensuite, l’industrie agroalimentaire s’est emparée des régimes alimentaires médicaux inventés pour un type particulier de patients. On peut citer le régime cétogène ou le jeûne destinés aux patients atteints de cancer. Ou bien le régime sans gluten adaptés aux personnes allergiques au gluten. Les conséquences du régime sur l’organisme Les régimes trop restrictifs qui engendrent des frustrations conduisent à de mauvais comportements alimentaires ainsi qu’une perte d’estime et de confiance en soi. C’est un cercle vicieux. La personne commence un régime pour perdre du poids, elle se sous-alimente et s’impose de nouvelles règles alimentaires, s’interdit des aliments plaisirs, et peut parfois débuter une activité physique intense. Son nouveau rythme de vie tourne autour de ces préoccupations, jusqu’au jour où elle craque… se prend de compulsions alimentaires, se gave d’aliments plaisirs (hyperphagie) qui lui ont tant manqués, reprends ses vieilles habitudes, et laisse tomber le sport. C’est un échec parce que son corps, s’étant senti puni, lui envoi ces compulsions pour « rattraper » cette sous-alimentation et se met à stocker. Il faut bien rappeler que notre organisme aime la régularité, les habitudes. Et qu’il est fait pour pérenniser l’espèce humaine ! Lors d’un régime, il se met alors en mode survie grâce à des neurotransmetteurs et à l’activité du système sympathique. Le régimeur s’inflige alors des critiques fortes et perd confiance en lui d’avoir échoué. Puis le régimeur sera à nouveau motivé par un nouveau régime de perte de poids et recommencera le processus. Résultats des courses, baisse du métabolisme de base (énergie soit calories nécessaires pour le fonctionnement des organes vitaux), carences, fatigue, troubles digestifs, troubles du comportement alimentaires, perte d’estime et de confiance en soi, perte d’argent et de temps … Et les pathologies en lien avec la nutrition dans tout ça ? Dans ce cas-ci, c’est bien entendu différentes et les patients sont dans un tout autre état d’esprit. Les allergiques au gluten seront ravis de poursuivre un régime sans gluten puisqu’ils retrouveront une meilleure qualité de vie de part la baisse de leur symptômes et problèmes de santé. En résumer : 95% des régimes se terminent par un échec avec modification du comportement alimentaire. Se nourrir fait partie des besoins primaires et essentiels de notre organisme et de la vie sur terre. Remettons l’acte de manger à la place qu’il mérite. Prenons le temps de nous asseoir à table. La clé est de trouver le bon équilibre entre aliments sains et plaisirs. Aucun aliment ne fait grossir ni maigrir, il n’y a aucune solution magique. Ce n’est qu’une question de qualité, de quantité et de fréquence. Manger en conscience et faire confiance à son instinct alimentaire : se laisser guider par son corps. Être organisé, avoir une bonne éducation nutritionnelle et apprendre à mieux-manger (connaître les différents groupes d’aliments et leurs bienfaits, avoir des bases en cuisine, comment bien consommer …) Faites-vous accompagner par un(e) diététicien(ne) qui a pour rôle de vous donner tous les outils et de vous aider à trouver votre équilibre et votre sérénité alimentaire. Sources https://www.lorientlejour.com/article/266369/Lhistoire_des_regimes_amaigrissants_%253A_170_ans_defforts_pour_rester_sur_sa_faim_%2528photos%2529.html https://www.larousse.fr/encyclopedie/medical/régime_alimentaire/15803 https://www.ipsos.com/fr-fr/les-francais-leur-poids-et-leurs-experiences-des-regimes « L’alimentation intuitive » de Evelyn Tribole et Élyse Resch, édition Peacefood Avant de débattre sur l’utilité ou non d’un régime, revenons sur la définition même d’un régime alimentaire. Selon le Larousse : « Prescrire un régime consiste à établir une liste d’aliments interdits ou limités et d’aliments autorisés en quantités définies, assortie de conseils concernant la préparation, la cuisson, la répartition de ceux-ci, etc. Un régime ne peut être suivi, sur une longue période et avec succès, que s'il est parfaitement expliqué au patient, adapté à son mode de vie et à ses préférences alimentaires tout en respectant les indications médicales. Le diététicien joue ici un rôle essentiel. » On peut résumer cette définition comme l’ensemble de recommandations et de règles alimentaires selon une stratégie et un objectif précis. Mais il y a beaucoup de dérives. Cela se traduit très souvent par des suppressions d’aliments ou de familles d’aliments, de la réduction des quantités de certains groupes alimentaires tels que les glucides et/ou lipides. On peut lier à cela une pratique d’activité physique régulière et intensive permettant de brûler des calories. Parfois aussi des boissons magiques et des habitudes toutes les plus loufoques les unes que les autres : pas de féculents le soir, suppression des bananes … On peut se demander alors quels sont les effets d’un régime sur le comportement alimentaire et la santé ? Des restrictions qui ne datent pas d’hier Depuis la fin du 19ème siècle, nous pouvons constater l’expansion de nombreux régimes toujours plus à la mode et attrayants, surtout destinés à la gent féminine. En effet, celles-ci s’occupaient de la maison, de la préparation des repas et de l’éducation des enfants. De plus, les femmes doivent plaire à la gent masculine. Les temps ont bien changé, ou presque… La culture du régime et de la minceur a pris de plus en plus de place en stigmatisant le poids, la balance et la minceur. Ensuite, l’industrie agroalimentaire s’est emparée des régimes alimentaires médicaux inventés pour un type particulier de patients. On peut citer le régime cétogène ou le jeûne destinés aux patients atteints de cancer. Ou bien le régime sans gluten adaptés aux personnes allergiques au gluten. Les conséquences du régime sur l’organisme Les régimes trop restrictifs qui engendrent des frustrations conduisent à de mauvais comportements alimentaires ainsi qu’une perte d’estime et de confiance en soi. C’est un cercle vicieux. La personne commence un régime pour perdre du poids, elle se sous-alimente et s’impose de nouvelles règles alimentaires, s’interdit des aliments plaisirs, et peut parfois débuter une activité physique intense. Son nouveau rythme de vie tourne autour de ces préoccupations, jusqu’au jour où elle craque… se prend de compulsions alimentaires, se gave d’aliments plaisirs (hyperphagie) qui lui ont tant manqués, reprends ses vieilles habitudes, et laisse tomber le sport. C’est un échec parce que son corps, s’étant senti puni, lui envoi ces compulsions pour « rattraper » cette sous-alimentation et se met à stocker. Il faut bien rappeler que notre organisme aime la régularité, les habitudes. Et qu’il est fait pour pérenniser l’espèce humaine ! Lors d’un régime, il se met alors en mode survie grâce à des neurotransmetteurs et à l’activité du système sympathique. Le régimeur s’inflige alors des critiques fortes et perd confiance en lui d’avoir échoué. Puis le régimeur sera à nouveau motivé par un nouveau régime de perte de poids et recommencera le processus. Résultats des courses, baisse du métabolisme de base (énergie soit calories nécessaires pour le fonctionnement des organes vitaux), carences, fatigue, troubles digestifs, troubles du comportement alimentaires, perte d’estime et de confiance en soi, perte d’argent et de temps … Et les pathologies en lien avec la nutrition dans tout ça ? Dans ce cas-ci, c’est bien entendu différentes et les patients sont dans un tout autre état d’esprit. Les allergiques au gluten seront ravis de poursuivre un régime sans gluten puisqu’ils retrouveront une meilleure qualité de vie de part la baisse de leur symptômes et problèmes de santé. 95% des régimes se terminent par un échec avec modification du comportement alimentaire. Se nourrir fait partie des besoins primaires et essentiels de notre organisme et de la vie sur terre. Remettons l’acte de manger à la place qu’il mérite. Prenons le temps de nous asseoir à table. La clé est de trouver le bon équilibre entre aliments sains et plaisirs. Aucun aliment ne fait grossir ni maigrir, il n’y a aucune solution magique. Ce n’est qu’une question de qualité, de quantité et de fréquence. Manger en conscience et faire confiance à son instinct alimentaire : se laisser guider par son corps. Être organisé, avoir une bonne éducation nutritionnelle et apprendre à mieux-manger (connaître les différents groupes d’aliments et leurs bienfaits, avoir des bases en cuisine, comment bien consommer …) Faites-vous accompagner par un(e) diététicien(ne) qui a pour rôle de vous donner tous les outils et de vous aider à trouver votre équilibre et votre sérénité alimentaire. Sources https://www.lorientlejour.com/article/266369/Lhistoire_des_regimes_amaigrissants_%253A_170_ans_defforts_pour_rester_sur_sa_faim_%2528photos%2529.html https://www.larousse.fr/encyclopedie/medical/régime_alimentaire/15803 https://www.ipsos.com/fr-fr/les-francais-leur-poids-et-leurs-experiences-des-regimes « L’alimentation intuitive » de Evelyn Tribole et Élyse Resch, édition Peacefood Avant de débattre sur l’utilité ou non d’un régime, revenons sur la définition même d’un régime alimentaire. Selon le Larousse : « Prescrire un régime consiste à établir une liste d’aliments interdits ou limités et d’aliments autorisés en quantités définies, assortie de conseils concernant la préparation, la cuisson, la répartition de ceux-ci, etc. Un régime ne peut être suivi, sur une longue période et avec succès, que s'il est parfaitement expliqué au patient, adapté à son mode de vie et à ses préférences alimentaires tout en respectant les indications médicales. Le diététicien joue ici un rôle essentiel. » On peut résumer cette définition comme l’ensemble de recommandations et de règles alimentaires selon une stratégie et un objectif précis. Mais il y a beaucoup de dérives. Cela se traduit très souvent par des suppressions d’aliments ou de familles d’aliments, de la réduction des quantités de certains groupes alimentaires tels que les glucides et/ou lipides. On peut lier à cela une pratique d’activité physique régulière et intensive permettant de brûler des calories. Parfois aussi des boissons magiques et des habitudes toutes les plus loufoques les unes que les autres : pas de féculents le soir, suppression des bananes … On peut se demander alors quels sont les effets d’un régime sur le comportement alimentaire et la santé ? Des restrictions qui ne datent pas d’hier Depuis la fin du 19ème siècle, nous pouvons constater l’expansion de nombreux régimes toujours plus à la mode et attrayants, surtout destinés à la gent féminine. En effet, celles-ci s’occupaient de la maison, de la préparation des repas et de l’éducation des enfants. De plus, les femmes doivent plaire à la gent masculine. Les temps ont bien changé, ou presque… La culture du régime et de la minceur a pris de plus en plus de place en stigmatisant le poids, la balance et la minceur. Ensuite, l’industrie agroalimentaire s’est emparée des régimes alimentaires médicaux inventés pour un type particulier de patients. On peut citer le régime cétogène ou le jeûne destinés aux patients atteints de cancer. Ou bien le régime sans gluten adaptés aux personnes allergiques au gluten. Les conséquences du régime sur l’organisme Les régimes trop restrictifs qui engendrent des frustrations conduisent à de mauvais comportements alimentaires ainsi qu’une perte d’estime et de confiance en soi. C’est un cercle vicieux. La personne commence un régime pour perdre du poids, elle se sous-alimente et s’impose de nouvelles règles alimentaires, s’interdit des aliments plaisirs, et peut parfois débuter une activité physique intense. Son nouveau rythme de vie tourne autour de ces préoccupations, jusqu’au jour où elle craque… se prend de compulsions alimentaires, se gave d’aliments plaisirs (hyperphagie) qui lui ont tant manqués, reprends ses vieilles habitudes, et laisse tomber le sport. C’est un échec parce que son corps, s’étant senti puni, lui envoi ces compulsions pour « rattraper » cette sous-alimentation et se met à stocker. Il faut bien rappeler que notre organisme aime la régularité, les habitudes. Et qu’il est fait pour pérenniser l’espèce humaine ! Lors d’un régime, il se met alors en mode survie grâce à des neurotransmetteurs et à l’activité du système sympathique. Le régimeur s’inflige alors des critiques fortes et perd confiance en lui d’avoir échoué. Puis le régimeur sera à nouveau motivé par un nouveau régime de perte de poids et recommencera le processus. Résultats des courses, baisse du métabolisme de base (énergie soit calories nécessaires pour le fonctionnement des organes vitaux), carences, fatigue, troubles digestifs, troubles du comportement alimentaires, perte d’estime et de confiance en soi, perte d’argent et de temps … Et les pathologies en lien avec la nutrition dans tout ça ? Dans ce cas-ci, c’est bien entendu différentes et les patients sont dans un tout autre état d’esprit. Les allergiques au gluten seront ravis de poursuivre un régime sans gluten puisqu’ils retrouveront une meilleure qualité de vie de part la baisse de leur symptômes et problèmes de santé. 95% des régimes se terminent par un échec avec modification du comportement alimentaire. Se nourrir fait partie des besoins primaires et essentiels de notre organisme et de la vie sur terre. Remettons l’acte de manger à la place qu’il mérite. Prenons le temps de nous asseoir à table. La clé est de trouver le bon équilibre entre aliments sains et plaisirs. Aucun aliment ne fait grossir ni maigrir, il n’y a aucune solution magique. Ce n’est qu’une question de qualité, de quantité et de fréquence. Manger en conscience et faire confiance à son instinct alimentaire : se laisser guider par son corps. Être organisé, avoir une bonne éducation nutritionnelle et apprendre à mieux-manger (connaître les différents groupes d’aliments et leurs bienfaits, avoir des bases en cuisine, comment bien consommer …) Faites-vous accompagner par un(e) diététicien(ne) qui a pour rôle de vous donner tous les outils et de vous aider à trouver votre équilibre et votre sérénité alimentaire. Sources https://www.lorientlejour.com/article/266369/Lhistoire_des_regimes_amaigrissants_%253A_170_ans_defforts_pour_rester_sur_sa_faim_%2528photos%2529.html https://www.larousse.fr/encyclopedie/medical/régime_alimentaire/15803 https://www.ipsos.com/fr-fr/les-francais-leur-poids-et-leurs-experiences-des-regimes « L’alimentation intuitive » de Evelyn Tribole et Élyse Resch, édition Peacefood